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Adaptation des cours du change et adaption tructurelee de l'economie de Croatie et Slovenie dans le conditions de la globalisation (CROSBI ID 502488)

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Kandžija, Vinko ; Kumar, Andrej ; Kufner, Slaven Adaptation des cours du change et adaption tructurelee de l'economie de Croatie et Slovenie dans le conditions de la globalisation // Le managment de la transition I. / Cucui, Ion ; Albagli, Claude ; Stegaroiu, Ion (ur.). Bukurešt: Universiatii "Valahia" Targoviste, 2004. str. 130-147-x

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Kandžija, Vinko ; Kumar, Andrej ; Kufner, Slaven

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Adaptation des cours du change et adaption tructurelee de l'economie de Croatie et Slovenie dans le conditions de la globalisation

Les facteurs qui influent sur les cours du change et les conséquences qu’ en surgissent dans la sph&egrave ; re microéconomique et celle macroéconomique sont objets de l’ attention des analystes dans toutes les économies de marché. Les changements du cours et par cela les changements dans le domaine de la concurrence qui en sortent dans les marchés du monde ont un effet direct sur la profitabilité, l’ occupation et les revenus des entreprises qui participent &agrave ; l’ échange économique avec le monde entier, soit en direction positive soit en celle négative. En m&ecirc ; me temps, les changements des cours influent sur l’ intensité et la structure de l’ enti&egrave ; re échange internationale ainsi que sur la structure de l’ emploi du produit intérieur brut. Par conséquent, il est claire qu’ en Croatie et Slovénie existe un grand intér&ecirc ; t &agrave ; connaître ce qui se passe avec le cours, avec son niveau ou bien sa "réalité" ainsi qu’ avec ses éventuelles modifications. Et cela surtout parce que les économies des deux pays sont petites et forcement dirigées vers une économie extérieure tr&egrave ; s intensive, tandis que la transition compl&egrave ; te &agrave ; une vraie économie de marché supposait aussi la transition du cours administratif dirigé, suivi d’ un régime de commerce extérieur et de devises approprié, qui était typique des économies socialistes, &agrave ; la formation du cours par rapport au marché et au commerce extérieur libre. Naturellement, cette transition influe sur la structure de production laquelle s’ était formée sous l’ influence d’ un autre syst&egrave ; me et elle doit s’ adapter &agrave ; un nouvau syst&egrave ; me. C’ est par cela qu’ en sort la question: quels sont les frais que la société doit payer pour cette adaptation, et il est clair qu’ on ne peut pas éviter la question sur son issue. Dans les circonstances actuelles, fortement troublées par les conditions de la globalisation, la négligence des éléments qui sortent de l’ état qu’ on a trouvé, et qui influent sur les proc&egrave ; s, peut facilement conduire aux fausses interprétations des signaux que le marché envoie, au sens de l’ évaluation de l’ implication d’ un optimum &agrave ; court terme, du point de vue de la réalisation des potentiels de développement &agrave ; long terme. Il existe au moins quelques caractéristiques de notre économie dans la sph&egrave ; re de l’ échange économique avec l’ étranger, qui ont été transmises en tant qu’ hipoth&egrave ; ques du passé &agrave ; la période actuelle, et qui influent sur les proc&egrave ; s du marché et créent des frais dans le proc&egrave ; s de restructuration. Ces hipoth&egrave ; ques apparaissent soit au niveau microéconomique qu’ au niveau macroéconomique. Avant tout, puisque les prix étaient, au cours des différentes périodes et par différente intensité, dans le domaine de l’ administration, il en résulte que la profitabilité dans les affaires, ni dans le marché national ni dans le marché mondial, n’ était pas le but principal des affaires dans une entreprise. Cela en sort du fonctionnement de l’ enti&egrave ; re économie socialiste o&ugrave ; la propriété appartenait &agrave ; l’ État. Dans le commerce extérieur était plus important "la création des devises" que les frais que cette création avait provoqué au niveau microéconomique. La couverture (market share) s’ obtenait plutôt avec des bas prix qu’ avec la qualité du produit ou bien avec d’ autre éléments concernant la concurrence. Les éventuelles pertes ne mettaient pas en péril l’ existence de l’ entreprise, parce qu’ elles étaient compensées par diverses formes de subventions de l’ État ainsi que par la tolérance de l’ indiscipline financi&egrave ; re ("la souple limitation du budget"). Dans les économies de marché ne peut représenter qu’ une exception le cas o&ugrave ; le frais limite dans l’ exportation du dollar réalisé (export cost of dollar) est plus élevé du cours, alors que dans les économies de la République de Croatie et Slovénie c’ était un phénom&egrave ; ne tout &agrave ; fait possible. Pour cette raison on peut dresser l’ hypoth&egrave ; se que nos secteurs économiques d’ exportation sont m&ecirc ; me maintenant caractérisés par une certaine dispertion des frais, probablement pas négligeable, concernant la valeur par rapport au cours. Ce phénom&egrave ; ne, sans doute beaucoup plus présent dans l’ exportation des marchandises que des services, devient un probl&egrave ; me maintenant, au moment o&ugrave ; le cours a commencé &agrave ; se former sur le marché et quand il représente le seul param&egrave ; tre d e l’ efficacité nationale et mondiale de la production. Les faits que la profitabilité microéconomique n’ était pas indispensable et que le cours était réglé par l’ administration, ont relativisé le rôle du cours en tant que pont entre le syst&egrave ; me des prix sur le marché national et mondial et les param&egrave ; tres de l’ efficacité des échanges internationaux. Dans les conditions qui n’ étaient pas celles de marché on pouvait conduire une politique de surestimation de la monnaie nationale ("cours irréel"). Par cela la composante de l’ exportation semblait moins ch&egrave ; re, et le revenu se redistribuait du nord, plus développé et orienté &agrave ; l’ exportation, vers le sud, peu développé et orienté surtout &agrave ; l’ importation. La surestimation de la monnaie nationale rendait plus difficiles les affaires aux exportateurs, ce qui se manifestait dans les constantes critiques de la politique du cours “ irréel” . Cependant, l’ entourage o&ugrave ; régnait "la souple limitation du budget" avec diverses subventions par lesquelles se compensaient les pertes créées par le fonctionnement de certaines mesures de politique économique, pour les managers signifiait que la solution des probl&egrave ; mes arrivait de celui qui les a créés - &agrave ; savoir l’ État. L’ aggravation de la discipline financi&egrave ; re avec le rôle de l’ État, qui était changé mais n’ étatit pas défini d’ une mani&egrave ; re claire et nette, crée actuellement confusion et incertitude aupr&egrave ; s les managers. Parmi les probl&egrave ; mes avec lesquels s’ était confrontée la structure de production soit croate que celle slov&egrave ; ne, surgit le fait qu’ apr&egrave ; s la dissolution du marché socialiste yougoslave de l’ Europe orientale, une partie des producteurs qui exportait sur ces marchés, s’ est trouvé devant la nécessité d’ exporter sur les marchés convertibles qui étaient fortement concurrentiels. Dans toutes les ex-économies socialistes ce probl&egrave ; me a été un des motifs principaux qui a provoqué la réduction de l’ activité économique générale et la chute du produit intérieur brut. Pour ce qui concerne la portion de la structure de production orientée vers les “ souples” marchés socialistes, la dissolution de ce bloc a aggravé les probl&egrave ; mes dans les affaires encore plus que dans le cas de ceux qui exportaient sur les marchés convertibles précédemment. Par cela, ainsi que par le fait que le marché croate est petit et que l’ exportation est une condition de survivance pour l’ actuelle structure de production, il en résulte que l’ élasticité de l’ exportation par rapport aux prix, au moin &agrave ; court terme, est tr&egrave ; s basse. Autrement dit, &agrave ; cause de l’ impossibilité de placer sur le marché national, on exportera quand m&ecirc ; me, sans égard &agrave ; la profitabilité et aux éventuelles pertes. C’ est une chose &agrave ; laquelle les exportateurs étaient déj&agrave ; habitués, mais avec le renforcement des lois de marché et l’ aggravation de la discipline financi&egrave ; re, la survivance, en absence de la profitabilité ou bien avec des pertes, devient impossible. Pour cette raison la haute sensibilité des exportateurs vers tout ce qui se passe avec le cours devient actuellement tout &agrave ; fait compréhensible. Au cours de la période des conditions de l’ économie socialiste et de "la souple limitation du budget", la politique du cours “ irréel", &agrave ; savoir la surestimation de la monnaie nationale, m&ecirc ; me si elle provoquait le mécontentement des exportateurs, elle ne menacait pas la survivance de l’ entreprise et ne forcait pas les managers aux efforts radicaux afin d’ augmenter l’ efficacité des affaires, &agrave ; savoir la réduction des frais dans le cadre de l’ exportation du dollar réalisé, c’ est-&agrave ; -dire l’ augmentation de la profitabilité. Actuellement, l’ éventuelle surestimation du cours les devrait forcer &agrave ; cela. Cependant, on se demande s’ ils peuvent le faire objectivement maintenant, surtout dans une certaine courte période. Et cela aussi parce que le cours, m&ecirc ; me si tr&egrave ; s important, n’ est pas le seul param&egrave ; tre des mécanismes de l’ adaptation. Les possibilités d’ augmenter l’ efficacité de la production et de transformer l’ exportation en affaire profitable, sont déterminées par plusieurs facteurs: a) les caractéristiques technologiques et d’ organisation d’ une certaine production et les possibilités de son adaptation, b) la disponibilité des moyens nécessaires pour la restructuration, c) la formation professionnelle des cadres dans la direction (des managers) afin qu’ ils puissent réaliser le proc&egrave ; s de restructuration d) le cours de la monnaie nationale et d’ autres mesures de politique macroéconomique ainsi que e) les influences socio-politiques qui facilitent ou bien rendent plus difficile ce proc&egrave ; s. Afin de concevoir une politique industrielle profitable, orientée &agrave ; la recherche d’ une solution optimale, &agrave ; court ou &agrave ; long terme, il faudrait chercher la réponse &agrave ; toutes les questions. Dans cet article on prendra en considération cependant seulement le probl&egrave ; me de la "réalité" du cours, de sa place dans l’ actuel entourage macroéconomique et de son influence sur l’ échange économique avec l’ étranger, et par cela aussi les proc&egrave ; s de l’ adaptation structurelle dans la structure de production.

Adaptation des cours du change; adaption tructurelee; Croatie; Slovenie; globalisation

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engleski

Exchange Rate and Structural Adaption of Croatian and Slovenian Economy in Terms of Globalization

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Exchange Rate Adaption; Structural Adaption; Croatia; Slovenia; Globalization

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Podaci o prilogu

130-147-x.

2004.

objavljeno

Podaci o matičnoj publikaciji

Le managment de la transition I.

Cucui, Ion ; Albagli, Claude ; Stegaroiu, Ion

Bukurešt: Universiatii "Valahia" Targoviste

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Le VIeme Seminaire International Relations economiques au dedans et au dehors de l'Union europeenne

predavanje

05.11.2004-06.11.2004

Bukurešt, Rumunjska

Povezanost rada

Ekonomija